🧠 𝐄𝐭 𝐬𝐢 "𝐭𝐫𝐨𝐩 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥" 𝐯𝐨𝐮𝐥𝐚𝐢𝐭 𝐝𝐢𝐫𝐞… 𝐩𝐚𝐬 𝐚𝐬𝐬𝐞𝐳 𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥 ?
- oanamartins2007

- 12 nov.
- 2 min de lecture
On entend souvent dire : "Je suis trop dans le mental." Cette phrase est devenue un refrain moderne, un aveu de surcharge cognitive, d’hyperactivité intérieure, de pensées incessantes. Pourtant, si l’on regarde plus profondément, ce n’est pas l’excès de mental qui nous submerge, mais un déficit de véritable connexion au plan mental supérieur.

𝐔𝐧 𝐥𝐨𝐠𝐢𝐜𝐢𝐞𝐥 𝐪𝐮𝐢 𝐫𝐚𝐦𝐞…
Imagine ton mental comme un ordinateur connecté à un vaste réseau de données universelles. Lorsqu’il fonctionne de façon optimale, il capte l’inspiration, la clarté, la logique subtile des choses. Il traite les informations avec fluidité, en étant au service de la conscience.
Mais lorsqu’il est saturé de fichiers obsolètes – croyances, jugements, injonctions sociales, peurs –, il mouline dans le vide. Il tourne en boucle sur des micro-pensées, génère du bruit mental, et réduit son champ de réception. C’est comme si le logiciel était tellement encombré qu’il n’a plus accès au réseau.
𝐌𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥 𝐢𝐧𝐟𝐞́𝐫𝐢𝐞𝐮𝐫 𝐯𝐬 𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥 𝐬𝐮𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐞𝐮𝐫
Dans une lecture plus fine, on distingue deux plans :
* Le mental inférieur, réactif, conditionné, auto-centré, qui tourne en rond et répète.
* Le mental supérieur, réceptif, silencieux, qui capte des vérités plus larges, intuitives, presque poétiques.
Être "trop dans le mental", ce n’est pas penser trop.
C’est penser petit.
C’est se couper du grand courant mental, celui qui relie l’intelligence humaine à l’intelligence cosmique.
𝐑𝐞𝐜𝐨𝐧𝐧𝐞𝐜𝐭𝐞𝐫 𝐚𝐮 𝐩𝐥𝐚𝐧 𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥 𝐬𝐮𝐛𝐭𝐢𝐥
Pour retrouver l’accès à ce mental libre et inspiré, il ne faut pas fuir la pensée, mais libérer l’espace mental :
* Par la respiration consciente, qui fait place nette dans l’interface intérieure.
* Par l'observation neutre des pensées, sans s’identifier à elles.
* Par le silence, qui n’est pas une absence de pensée, mais un canal de réception subtil.
* Par la contemplation, telle que proposée dans les clés génétiques, où l'on laisse émerger les vérités sans les forcer.
* et surtout par l'intention de ne pas donner le mauvais rôle au mental de décideur ou de solutionneur dans notre vie. Les choix sont fait à partir du cœur.
Conclusion
Ce n’est pas l’activité mentale qui nous épuise, c’est la déconnexion de sa source véritable.
Le mental n’est pas l’ennemi : il est une interface précieuse, à condition d’être aligné, libéré, et ouvert à plus grand que lui. Lorsqu’il retrouve sa juste place, il devient un véhicule d’éveil, de clarté et de génie.
Oana MARTINS
Gene Keys Guide







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